2 févr. 2015

Du 22 au 30 janvier dernier, une mission de supervision de la Banque Mondiale et de la Banque Européenne d’Investissement (BEI) a séjourne dans les locaux Warcip-Mauritanie, sous la conduite de Michel Rogy, Conseiller en politiques des TIC de la BM et de Anne-Marie Deransart, chargée d’opérations à la BEI.

La délégation comprenait entre autres Arthur Foch, spécialiste en politique des TIC, Moustapha Ould El Bechir spécialiste Principal en passation des marchés, Paul- Jean Feno, spécialiste Principal en environnement. Il y avait aussi la présence de Isabelle Hynh Officier principal des opérations, Mariana Rui Alvarado environnementaliste, Monsieru Rogesrio Gens ingénieur Principal Samba Fatou Sall, spécialiste en gestion Financière.

La mission avait pour objectifs « de faire le suivi avec les bénéficiaires du projet sur les activités du projet, notamment les conditions de décaissement pour le backbone national et l’adoption des textes de lois sur la Société de l’Information en Conseil des Ministres », indique-t-on du coté de Warcip.

Les superviseurs de la BM et de la BEI entendaient aussi « faire le point »  sur la mise à disposition des fonds de contrepartie, « revoir la passation des marchés du projet et la gestion financière, notamment l’avancement du plan d’action établi lors de ma mission de supervision de septembre 2014, faire le suivi de l’avancement des études environnementales et sociales, faire le point sur l’activité suivi-évaluation du projet ».

Le projet WARCIP-Mauritanie est un programme qui a pour objectif accroître la couverture géographique des réseaux à bande passante de grande capacité et de diminuer les coûts des services de communications sur le territoire de la République Islamique de Mauritanie.

Pour atteindre cet objectif,  WARCIP propose une approche intégrée centrée sur : une connectivité améliorée à travers l’accès concurrentiel à la bande passante internationale,  la création d’un environnement propice et le renforcement des capacités institutionnelles pour éliminer les goulots d’étranglement qui contraignent la participation du secteur privé au développement de la connectivité nationale et régionale, et l’appui à la mise en œuvre du Programme dans le pays.