Du 22 au 30
janvier dernier, une mission de supervision de la Banque Mondiale et
de la Banque Européenne d’Investissement (BEI) a séjourne dans
les locaux Warcip-Mauritanie, sous la conduite de Michel Rogy, Conseiller en
politiques des TIC de la BM et de Anne-Marie Deransart,
chargée d’opérations à la BEI.
La délégation
comprenait entre autres Arthur Foch, spécialiste en politique des TIC,
Moustapha Ould El Bechir spécialiste Principal en passation des marchés, Paul-
Jean Feno, spécialiste Principal en environnement. Il y avait aussi la présence
de Isabelle Hynh Officier principal des opérations, Mariana Rui
Alvarado environnementaliste, Monsieru Rogesrio Gens ingénieur
Principal Samba Fatou Sall, spécialiste en gestion Financière.
La mission avait
pour objectifs « de faire le suivi avec les bénéficiaires du projet sur
les activités du projet, notamment les conditions de décaissement pour le
backbone national et l’adoption des textes de lois sur la Société de
l’Information en Conseil des Ministres », indique-t-on du coté de Warcip.
Les superviseurs
de la BM et de la BEI entendaient aussi « faire le point » sur
la mise à disposition des fonds de contrepartie, « revoir la passation des
marchés du projet et la gestion financière, notamment l’avancement du plan
d’action établi lors de ma mission de supervision de septembre 2014, faire le
suivi de l’avancement des études environnementales et sociales, faire le point
sur l’activité suivi-évaluation du projet ».
Le projet WARCIP-Mauritanie est
un programme qui a pour objectif accroître la
couverture géographique des réseaux à bande passante de grande capacité et
de diminuer les coûts des services de communications sur le territoire de la
République Islamique de Mauritanie.
Pour atteindre
cet objectif, WARCIP propose une approche intégrée centrée
sur : une connectivité améliorée à travers l’accès concurrentiel à la
bande passante internationale, la création d’un environnement propice et
le renforcement des capacités institutionnelles pour éliminer les goulots
d’étranglement qui contraignent la participation du secteur privé au
développement de la connectivité nationale et régionale, et l’appui à la mise
en œuvre du Programme dans le pays.